ANTISEMITISME ET ADMINISTRATION : LA BARBARIE D’UN COMPLOT D’ETAT FRANÇAIS !
ANTISEMITISME ET ADMINISTRATION : LA BARBARIE D’UN COMPLOT D’ETAT FRANÇAIS !
Dans les mois qui suivirent l’ascension de Hitler au pouvoir, des membres des SA et de la Gestapo allèrent de porte en porte à la recherche des ennemis du nazisme. Ils arrêtèrent les socialistes, les communistes, les leaders syndicaux et en général tous ceux qui s’étaient exprimés contre le parti nazi. Certains furent assassinés. A l’été 1933, le parti nazi était devenu le seul parti politique légal. Toute opposition organisée au régime avait été pratiquement éliminée. La démocratie était morte en Allemagne.
L’intimidation par la terreur fut considérablement favorisé par le zèle avec lequel de nombreux Allemands (par conviction, appât du gain, jalousie ou vengeance) étaient prêts à dénoncer leurs concitoyens, juifs ou non, à la police. La Gestapo n’aurait pas pu exercer un tel contrôle sur la société allemande sans ce flot continu de dénonciations, dont beaucoup étaient complètement dénuées de fondement.
Les nouvelles autorités nazies, dont les SA, les SS et les autorités municipales de nombreuses communes, créèrent des «camps» dans toute l’Allemagne. Il s’agissait de centres de détention aménagés dans des camps proprement dits ou bien dans de vieux entrepôts, des usines désaffectées et d’autres bâtiments. Les autorités nazies y détenaient les opposants politiques sans procès et dans des conditions cruelles et brutales. Le 20 mars 1933, les SS ouvrirent un camp dans une fabrique de munitions désaffectée de la ville de Dachau, située près de Munich, dans le sud-ouest de l’Allemagne. Le camp de concentration de Dachau devait devenir le «modèle» du vaste système de camps administré par la SS.
Collaboration à la solution finale
La collaboration de la police française, dans les deux zones, a été décisive pour la mise en œuvre de la « Solution finale » nazie. En effet, l’Allemagne hitlérienne ayant besoin d’hommes sur le front de l’Est, en particulier après l’invasion de l’Union Soviétique en juin 1941, elle s’est servie de la police française pour faire régner l’ordre et réprimer les « terroristes » : communistes, gaullistes, francs-maçons, « anarchistes » et autres Résistants. En outre, elle s’est elle-même chargée du recensement des juifs, de leur arrestation et de leur rassemblement dans les camps de concentration (Drancy, etc.), réquisitionnant pour cela, à Paris les bus, et sur l’ensemble du territoire français des trains de la SNCF. Soucieuse d’éviter une rébellion massive de la population française, la Gestapo pensait, avec raison, que de tels risques seraient minimisés si, au lieu de se charger elle-même des rafles, la police française le faisait.
Monsieur VERDI Patrice CANNES le 23/07/12
à
Monsieur le Président de la République
Palais de l’Elysée
55, rue du faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
Palais de l’Elysée
55, rue du faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
Monsieur le Président,
J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous remercier pour votre courage politique exprimé par votre discours historique en date du 22/07/12 relatif à l’antisémitisme.
La France que vous incarnez sereinement avec dignité exprime une vérité barbare pour la communauté juive qui souffre pour des raisons sociales et culturelles liées à cette profonde injustice que fut la collaboration.
Le Président CHIRAC a été le précurseur dans ce domaine en réveillant les consciences et vous avez su perpétuer Monsieur le Président, ce message grave lié aux dérives sectaires et sécuritaires qui ne seraient rien sans un appui formel des forces de Police et de Justice.
Les valeurs miliciennes sont des valeurs républicaines qui disparaissent progressivement car la mémoire collective fait place à l’indifférence puis à la haine et à l’antisémitisme qui couvrent généralement tous les maux sociaux et économiques en fustigeant encore et toujours la même communauté ou ceux qui les défendent et se retrouvent arbitrairement exclus de toute fonction sociale ou administrative.
Ce phénomène récursif grave doit être combattu car sa catalyse historique a été la crise économique de 1929 et ses dérives nationalistes européennes de 1933 qui se sont reproduits en 2008 par une politique libérale discriminatoire accrue par la volatilité incontrôlée des taux de change confondue avec celle des valeurs morales nécessaires à la pérennité de la démocratie que nous devrions défendre tous.
La France a désormais un Président serein qui porte loyalement des valeurs républicaines de considération et de respect.
Le Gaullisme et Le Socialisme ont désormais un tronc commun : Votre discours historique du 22 Juillet 2012.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.
VERDI Patrice
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